mardi 30 décembre 2014

Chasseur de Fantômes #05 : La Réole

mercredi 24 décembre 2014

Il y aurait bien une vie après la mort

Notre cadeau pour Noël: cette petite lueur d'espoir venue de Grande-Bretagne en octobre dernier. Selon une étude de l’Université de Southampton, il serait possible d'avoir une sensation de conscience plusieurs minutes après l’arrêt du cœur.

Des cas de pleine conscience en état de mort clinique

Selon ces scientifiques qui ont mené pendant quatre ans, une étude sur 2.060 patients ayant subi un arrêt cardiaque, près de 40% des survivants ont décrit une sensation étrange de conscience alors qu’ils étaient en état de mort clinique, avant que leur cœur ne se remette à battre.
Parmi eux 2% ont même expérimenté un état de «pleine conscience» ou de «sortie de leur corps». Un travailleur social âgé de 57 ans déclaré en état de mort clinique pendant trois minutes, a ainsi expliqué avoir quitté son corps et assisté à sa résurrection depuis le coin de la pièce. Il était capable de raconter de manière assez détaillée les soins qu’il a reçus et le bruit des machines autour de lui. Des affirmations qui ont pu par la suite être vérifiées.

«Dans les premières minutes après la mort, la conscience n'est pas annihilée»

«Dans ce cas, l’état de conscience semble s’être poursuivi durant les trois minutes où le cœur du patient avait cessé de battre, alors que le cerveau «s’éteint» généralement dans les 20 à 30 secondes après que le cœur a cessé de battre», expliquait au Daily Mail le Dr Sam Parnia, qui a mené cette étude. C'est une avancée importante car jusqu’à présent, les médecins «supposaient que les expériences relatées de vie après la mort étaient en réalité des hallucinations survenant soit avant que le cœur se soit arrêté, soit après que le cœur a été redémarré avec succès», poursuit-il, mais pas une expérience correspondant à des «événements réels lorsque le cœur du patient ne battait plus».  
«Les preuves suggèrent que, dans les premières minutes après la mort, la conscience n'est pas annihilée. Nous ne savons pas si elle s'estompe ensuite mais directement après la mort, la conscience n’est pas perdue», ajoutait le scientifique. «Alors qu’il n’est pas possible de prouver absolument la réalité ou la signification des expériences de ces patients et de leur prétendue «conscience» (en raison de leur faible incidence -2%), il était impossible de les réfuter et plus de travail est nécessaire dans ce domaine», concluait-il.

http://www.20minutes.fr/sciences/1505687-20141224-avent20minutes-1-bien-vie-apres-mort

dimanche 14 décembre 2014

Un objet volant non identifié au-dessus du Capitole

Le week-end s'achevait tranquillement en centre-ville toulousain ce dimanche 7 décembre. Les derniers visiteurs se pressaient encore nombreux sur la place du Capitole, aux couleurs du marché de Noël. En l'air, le ciel était plutôt couvert. Sans doute pas une nuit à faire scintiller les étoiles. Encore que…
Sur le coup de 18 h 15, plusieurs personnes auraient soudain aperçu un point lumineux dans le ciel, juste au-dessus du Capitole. Christelle Dos Santos, qui était dans la foule, témoigne : «En fait, j'étais derrière la place du Capitole, juste devant l'office de tourisme. Avec ma famille, nous faisions la queue pour entrer dans le grand chalet de Noël installé pour le temps des fêtes. Il y avait beaucoup de monde et nous n'avons pas été les seuls à voir cette lumière dans le ciel». Le papa de Christelle confirme que cette lumière avait toutes les apparences d'un objet volant non identifié (OVNI).

Un objet rond lumineux qui se déplaçait, puis qui a disparu

Quelles étaient les caractéristiques de cette lumière-OVNI qui, là encore selon le papa de Christelle, «semblait jouer à cache-cache avec les arbres du square de Gaulle» ? Sa fille est formelle : «La lumière était de forme ronde, de couleur orange/rouge». Elle confirme également les dires de son père : «Oui, elle bougeait. Elle avançait à l'horizontal, de droite à gauche, en se déplaçant à une allure assez rapide.»
Durant son observation, Christelle a eu le temps de prendre une photo avec son téléphone portable, ainsi que réaliser une petite vidéo. Sur la vidéo, que nous avons pu visionner, on a l'impression que l'OVNI clignote. «Mais ce n'est pas le cas, il passait derrière les arbres», selon Christelle. De la même manière, sur la photo transmise par Christelle, l'OVNI ressemble à une pile lumineuse de forme rectangulaire. «En réalité, elle était bien ronde et c'est le mouvement qui donne cet effet sur la photo. L'OVNI a continué son déplacement jusqu'à ce qu'on le perde de vue…»
Cette présence mystérieuse dans le ciel toulousain a été signalée au Groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Geipan). Peut-être que l'organisme confirmera la présence d'un OVNI en ce début de soirée du 7 décembre.
Le dernier épisode de ce type à Toulouse remontait au mois de mars, sans que le «Geipan» n'ait pu confirmer la présence officielle d'OVNI.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/14/2011298-un-objet-volant-non-identifie-au-dessus-du-capitole.html

jeudi 11 décembre 2014

lundi 1 décembre 2014

mercredi 5 novembre 2014

vendredi 31 octobre 2014

vendredi 24 octobre 2014

vendredi 17 octobre 2014

mardi 7 octobre 2014

dimanche 5 octobre 2014

dimanche 21 septembre 2014

Bollène : un prêtre exorciste combat les infestations du Mal

Les touristes venaient paisiblement visiter la collégiale Saint-Martin dans le cadre des journées du patrimoine, quand ils sont tombés sur une séance d'exorcisme
Les visiteurs pour les Journées du patrimoine qui ont fait le choix de se rendre ce samedi en début d’après-midi à la collégiale Saint-Martin pensaient découvrir une exposition de photos sur « la restauration des intérieurs » de l’édifice. Mais certainement pas voir des gens sur le parvis en train de vomir, en pleurs. Ils se sont ainsi vus rediriger vers d’autres sites. Mais certains s’engagent quand même à l’intérieur. En entrant, c’est la stupéfaction. Sous leurs yeux, des personnes gesticulent les mains levées vers le ciel, d’autres tombent, inanimées, en prière devant le Saint-Sacrement et les visiteurs se demandent alors s’il ne faut pas appeler les pompiers. Ils découvrent des prêtres en confession dans les chapelles latérales, des séances d’exorcisme par un prêtre du diocèse, le père Gabriel Picard d’Estelan et Frédéric Lacroix, « un laïc qui a reçu la mission de Dieu dans l’obéissance à l’Église, de combattre les infestations du Mal au nom de Jésus-Christ », selon les termes du communiqué de la paroisse de Bollène annonçant l’événement.

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2014/09/20/un-pretre-exorciste-combat-les-infestations-du-mal

lundi 8 septembre 2014

vendredi 5 septembre 2014

Des chercheurs affirment avoir réussi à faire de la télépathie

Des chercheurs affirment avoir transmis pour la première fois un message mental simple entre deux personnes séparées par des milliers de kilomètres, selon une recherche récemment publiée dans la revue américaine PLOS one.

L'un en Inde, l'autre en France, capables de communiquer par flashs lumineux. Pour mener leur expérience, des chercheurs ont placé des électrodes sur la tête d'un sujet, transmettant via internet ses activités cérébrales comme un  électroencéphalogramme, alors qu'il pense des messages très simples comme  "bonjour" ou "salut". L'ordinateur convertit ces impulsions électriques en code binaire, le langage machine, avant de les envoyer à un autre ordinateur qui les transmet au cerveau d'une autre personne en France sous forme de flash lumineux, expliquent ces scientifiques. Le sujet ne pouvait ni entendre ni voir les mots eux-mêmes mais a été capable d'interpréter les signaux lumineux pour saisir le message. En fait cela revient à transmettre un message par télépathie.

"Nous voulions voir s'il était possible de communiquer directement entre deux personnes en lisant les activités cérébrales de la première puis en les transmettant à une autre et ce sur de vastes distances via les systèmes de communication existants comme internet", a expliqué Alvaro Pascual-Leone,  professeur de neurologie à la faculté de médecine de Harvard, co-auteur de  cette expérience. Des chercheurs de l'université de Barcelone et de la firme espagnole Starlab ainsi que de la société française Axilum Robotics ont également  participé à cette recherche parue dans PLOS One daté du 19 août. Selon ces scientifiques il s'agit d'un premier pas dans l'exploration d'autres moyens de communication.

"Nous pensons que des interfaces directes courantes entre les ordinateurs et le cerveau humain seront possibles dans un avenir pas si éloigné, permettant une communication directe de cerveau à cerveau de façon routinière (...) et créant de nouvelles possibilités dans les relations sociales", concluent ces chercheurs. Parmi les applications potentielles, ils citent la possibilité de communiquer avec des personnes paralysées et incapables de parler après un accident vasculaire cérébral. Les scientifiques travaillent depuis une dizaine d'années sur les  communications télépathiques.

En 2013, des neurobiologistes de l'Université Duke en Caroline du nord (est des Etats-Unis) étaient parvenus à faire transmettre par une forme de  télépathie des informations entre deux rats. Comme ils sont tenus de le faire dans les grandes publications scientifiques, plusieurs auteurs signalent des conflits d'intérêt. Ainsi trois des chercheurs sont salariés de la firme de robotique et de neurosciences Starlab à Barcelone, qui a financé une partie de la recherche.
 

mercredi 3 septembre 2014

mardi 2 septembre 2014

Une famille de Villers-Outréaux s’enfuit de sa maison car elle la pense hantée

Ce samedi il est 9 h 30 lorsque nous arrivons devant la maison des Larmigny, située au cœur du village. Le couple nous attend de l’autre côté de la chaussée, accompagné d’une amie et de la voisine de la maison mitoyenne. À peine proposons-nous d’effectuer l’entretien à l’intérieur pour plus de confort, que l’angoisse gagne nos interlocuteurs : « Je veux bien rentrer pour vous montrer où ça s’est passé mais je ne m’attarde pas ! », s’inquiète Stéphane Larmigny.
Le seuil de la maison franchi, nous constatons que toute la maison a été laissée telle quelle, laissant présager un départ précipité : « Nous avons tout laissé derrière nous vendredi dernier. J’ai envoyé les enfants chez leur père à Lille et nous sommes partis à l’hôtel avec mon mari. Nous ne pouvions pas rester une nuit de plus ici. », indique Mme Larmigny.

« Mes enfants poussaient des cris de terreur »

Depuis deux ans, la famille Larmigny coule pourtant des jours heureux dans cette petite maison. Mais concède, s’être toujours sentie observée depuis leur emménagement, sans jamais vraiment savoir l’expliquer : « Il y avait des choses qui se passaient ici. Un jour je me suis levé : j’avais des traces de doigts sur la poitrine. Un autre jour c’était la marque d’un chiffre sur mon poignet », rapporte le locataire.
Ces « choses », le couple n’y avait jamais trop prêté attention jusqu’à ce jour du 26 août, où Stéphane décide d’abattre l’arbre devant la maison : « C’est à ce moment-là qu’on a senti qu’il y avait une présence à l’intérieur. Ça a commencé par des bruits dans la cage d’escalier. Mes enfants poussaient des cris de terreur la nuit car ils voyaient des visages. Les portes claquaient derrière nous sans qu’il y ait le moindre courant d’air. On entendait des bruits de pas en haut alors que personne n’y était et des chuchotements le soir, se rappelle Marie, terrorisée. Il y a forcément un lien avec cet arbre. Il doit y avoir quelque chose dessous. »
Pour se convaincre qu’il n’a pas cédé à des divagations, le couple réalise une série de photos prises à différents endroits de la maison. Sur celles-ci on aperçoit des « masses » dans lesquelles on distinguerait des visages en train d’observer les occupants (voir ci-dessus).
Alors fruit de leur imagination ou réel phénomène de Poltergeist ?
Une chose est sûre, les Larmigny ont fui leur maison, quitte à ne plus jamais y mettre les pieds, et invitent quiconque penserait que leur histoire est du bluff à y passer la nuit. À bon entendeur…

http://www.lavoixdunord.fr/region/une-famille-de-villers-outreaux-s-enfuit-de-sa-maison-ia13b45101n2354085

vendredi 8 août 2014

vendredi 25 juillet 2014

mercredi 23 juillet 2014

vendredi 27 juin 2014

mardi 10 juin 2014

dimanche 25 mai 2014

mercredi 21 mai 2014

mercredi 30 avril 2014

jeudi 24 avril 2014

mardi 22 avril 2014

Elles pensent vivre avec des démons

PARANORMAL. Tout est revenu à la normale à la Cressonnière, dans les Ardennes. Les objets ont cessé de s’y déplacer et les couverts de se planter dans les murs. Les mauvais esprits continueraient cependant d’y rôder.
Les murs en torchis sont si délabrés qu’on se demande comment ils tiennent. Une porte en bois délavé donne accès à la pièce de vie : une petite cuisine sombre. Trois cages à oiseaux sont suspendues au plafond, des chats s’y prélassent. Un fil est, quant à lui, tendu au travers de la pièce, supportant ce qui s’apparente à un amas de linge sale.
Deux vieilles gazinières occupent l’âtre. Trois réfrigérateurs hors service font office d’étagères. Çà et là, des gamelles bosselées contenant des croquettes, des statuettes de la Vierge, un poste de TSF. Une photo encadrée aussi, celle d’un chat étripé. «  Je l’aimais bien ma pupuce, s’exclame Denise, la maman de Frédéric. C’était une chatte angora intelligente. Je l’ai retrouvée dans cet état après qu’un camion poubelle ne lui passe dessus.  »


« Je suis venue au monde dans la malédiction »

Assise en bout de table, Rosa Caussionnart semble ne pas prêter beaucoup d’attention aux paroles de sa fille. Rapidement agacée, elle lui coupe la parole, s’en tient à l’essentiel. «  Ce qui s’est passé ici est du domaine du paranormal  », déclare-t-elle, avant de se refermer soudainement comme une huître. «  C’est trop grave pour le raconter.  »
Denise, qui trépigne, finit par oser : «  C’est de la magie noire ici, Madame. C’est le gamin qui était visé.  » «  C’est bien pire qu’au Moyen âge, se laisse piéger Rosa qui repart de plus belle, parce que personne ne nous croit plus. Je suis venue au monde dans la malédiction, prétend-elle, mais je ne l’ai compris que tard  ». Après les événements de 1987, précise-t-elle. «  Après que les fourchettes font bzz quand elles se piquaient.  »
La mamie de Frédéric se rappelle «  d’un tas de trucs qui voltigeaient. Des casseroles, des louches… Il fallait voir le travail, tout filait comme ça !  » À l’en croire, «  ce n’était pas à la vue de tout le monde  ». Et puis d’un coup, plus rien. «  Sauf qu’ils étaient autour de moi.  »
Rosa explique être sous la domination de démons. «  Ils sont là, autour de moi, invisibles. Ils me ruinent  », se plaint-elle. «  Je suis dans une noirceur terrible ! Ils viennent dans mon lit, ils me font souffrir ! Au point que j’en ai du mal à marcher.  »

« Évidemment, ça n’est pas pénal, c’est criminel ! »

La vieille femme s’en est ouverte au procureur de la République, auprès duquel elle a porté plainte, il y a quelques années. «  Il m’a dit que ce n’était pas pénal  », se souvient-elle. «  Évidemment, puisque c’est criminel ! Il y a toute une équipe, une secte diabolique, qui cherche à me faire mourir.  »
Si elle tient bon, c’est grâce à Jean Paul II. «  Je suis sous sa protection, je ne crains presque rien  », se vante-t-elle. Et de montrer l’ongle de son pouce droit, «  qu’il m’a miraculeusement réparé, après qu’il s’est fendu en deux.  »
Bien que venus de toutes parts, les médiums n’ont pas eu la même efficacité il y a vingt-sept ans. «  Ils ont tenté de nous protéger avec des sorts, mais les membres de la secte détruisent tout quand ça s’estompe avec le temps… C’est Satan, conclut Rosa, s es démons habitent ici. Je ne connaîtrai jamais le bonheur, je suis au bout de la vie.  »
Depuis l’autre coin de la pièce, Denise opine du chef avant de se mettre à hurler plus fort que le chien dans le but de le faire taire.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/video-elles-pensent-vivre-avec-des-demons-ia0b0n335951
La Cressonière de Viel Saint-Remy n'est plus... par UnionArdennais

samedi 19 avril 2014

Le monstre du Loch Ness refait surface... sur une image satellite

Le monstre du Loch Ness refait surface régulièrement. Non pas dans le lac qui porte son nom mais plutôt dans les médias ou auprès de quelques "experts". Le dernier épisode en date est raconté par le Daily Mail.
Le quotidien britanique raconte l'histoire d'Andrew Dixon, un habitant de Darlington de 26 ans, qui regardait des images satellite de sa ville quand il a voulu juste jeter un coup d'oeil au fameux lac du Loch Ness. C'est là qu'il a découvert une ombre d'environ 30 m de long avec deux sortes de nageoires géantes.
L'image a été étudiée par des experts du Fan Club du Monstre du Loch Ness Fan Club. Diverses hypothèses ont été évoquées... et exclues : une épave, un morceau de bois, un bateau (pas de sillage) etc. Mais pour les amateurs du genre, il est «probable» que ce soit là le fameux monstre...

http://www.lalsace.fr/actualite/2014/04/19/loch-ness-refait-surface

Taps Le fantôme du chasseur de primes Reportage Complet En Français 2013

dimanche 9 mars 2014

Zach King, l'incroyable magicien 2.0 qui fait disparaître la Tour Eiffel

http://lci.tf1.fr/high-tech/

En seulement quatre mois, il est devenu une star sur les réseaux sociaux, et ses vidéos sont partagées dans le monde entier, au point qu'il a été invité sur le plateau d'Ellen Degeneres. Zach King est un magicien des temps modernes. La preuve en images.


C'est un grand magicien... ou du moins un véritable professionnel du trucage. Zach King est devenu en seulement quatre mois un véritable phénomène. Ce jeune Américain s'est fait connaître outre-Atlantique pour ses vidéos -de six secondes postées sur Vine- sur lesquelles les internautes le découvrent faisant des tours de magie tous plus fous les uns que les autres. 
Transformation en chien, vol de la Tour Eiffel... Ses vidéos ont désormais largement dépassé les frontières du continent américain et ont fait du jeune Californien une star internationale. Des tours de passe-passe 2.0 qui lui ont également permis d'être invité sur bon nombre de plateaux de télévisions américains. En particulier celui de la très populaire Ellen DeGeneres. 
Un succès qui ne semble pas avoir fait prendre la grosse tête au magicien 2.0. "Il y a à peu près quatre mois, tous mes amis se sont mis à utiliser l'application Vine. Dans l'application, vous avez une catégorie 'effets spéciaux' et je me suis dit que je pouvais le faire. J'étais dans une école de montage il y a un an. Mon premier clip est sorti, puis le second, et c'est devenu très populaire. Je n'ai plus arrêté", a-t-il raconté à Ellen DeGeneres. 

dimanche 2 mars 2014

Onet-le-château. Jacques Lecocq revient de l'au-delà

Qui ne connaît pas Jacky Lecocq, véritable figure du microcosme ruthénois. Moniteur sportif à Global gym center aux côtés de sa championne de femme, Dominique Dardé, entraîneur pendant de nombreuses années des muscles des détenus de la maison d’arrêt de Rodez, l’homme est sympathique, solide, avenant, bien dans ses baskets avec les yeux qui brillent….Qui brillent d’étoiles qu’il aurait aperçues il y a quelques années après un accident de voiture. Aujourd’hui âgé de 67 ans, Jacky Lecocq a violemment percuté en 1997 un tracteur qui a coupé la nationale sur laquelle il roulait. Si son épouse a été blessée physiquement, lui ne sera plus le même ou bien sera-t-il enfin vraiment lui-même. Il fait partie de ces personnes qui ont vécu une OBE (out of body expérience), qui ont vu l’au-delà et qui sont revenues. Au début il se tait pour ne pas paraître loufoque mais il est encombré de ce corps qu’il n’habite plus et de cet autre corps qu’il perçoit à côté de lui, «son enveloppe astrale», comme il l’appelle. Impression de malaise avant de réinvestir son enveloppe humaine. Il y aura un avant et un après. Depuis il se consacre à combattre les maux de tous ceux qui le sollicitent. Jacques Lecocq se met alors à pratiquer la sophrologie mais aussi le magnétisme. «Je suis le canal qui sert de vecteur entre les énergies célestes et ceux qui ont des problèmes», explique-t-il. Le bouche à oreille, le soulagement des uns amène les autres, et le voilà faisant part de son expérience lors de conférences, dans le grand sud de la France, qui affichent complet. Il s’adjoint les compétences d’une énergéticienne, Karine Vidal, et d’un médium, Jean-Michel. Le trio éclaire, explique, tente de comprendre tous ces gens en demande, parfois en vraie détresse. Jacques Lecocq a écrit trois livres «Le voyage de l’autre côté du miroir», «Le voyage continue» et le dernier s’appelle «La fin du voyage». Il les dédicacera ce dimanche au Salon du livre d’Onet-le-Château (lire ci-dessous). «Il faut essayer de laisser une empreinte, une trace. il est temps de changer, d’avoir des relations plus nobles. Le pourvoir n’existe pas, on a juste des potentialités», confie Jacky, devenu une porte ouverte entre deux mondes. «Je crois en la réincarnation, ça ne s’arrête jamais».
www.sophro-jacques.blogspot.com

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/02/1830243-jacques-lecocq-revient-de-l-au-dela.html

vendredi 28 février 2014

jeudi 27 février 2014

lundi 24 février 2014

Esprit, es-tu là?

Ne lui parlez pas de SOS fantômes. Le terme « fantôme » l’horripile. «  C’est un manque de respect pour les esprits.  » Casquette au nom de l’association sur le crâne (GRIAP pour Groupe, Recherche, Investigation, Activité, Paranormal), Jérôme Durlique, créateur de l’antenne saint-quentinoise, déballe son matériel. Une technologie high-tech pour mener des enquêtes sur les présences paranormales.
Son terrain de jeux, l’usine désaffectée sur les berges du canal de Saint-Quentin, face au vieux port. Entre chien et loup, ce vendredi 21 février, la nuit tombe doucement. Il sort caméra, détecteur et dictaphone de son sac à dos.
«  Cette usine est super pour les séances de contact esprit : il n’y a pas d’activités électriques, les appareils ne sont pas pollués  », explique le chasseur d’esprit. Il a déjà mené des enquêtes sur le site. «  Nous ne serons pas déçus. Il y a une activité paranormale ici.  »
Lors d’une précédente enquête donc, le chasseur et son équipe ont réussi à entrer en contact avec des esprits. «  Une petite fille nous a demandé une pièce. Ce doit être un esprit résiduel : elle est coincée dans un cycle. Elle revient pour demander toujours la même chose comme elle le faisait sans doute de son vivant.  »
Selon Jérôme Durlique, ce n’est pas le seul esprit qui traîne dans le coin. «  Un esprit attire d’autres esprits.  » Aussi, il n’a pas été surpris de rentrer en contact avec une femme qui «  disait être morte de froid dans le centre-ville de Saint-Quentin  ».

Règle nº1: ne pas fuir en courant

Le GRIAP est une association internationale. Elle intervient partout en France. «  Nous pouvons faire partir les esprits de l’autre côté  », assure le trentenaire. Sans emploi, il consacre une grande partie de son temps à sa passion pour le paranormal. «  J’ai été confronté au paranormal dès mes huit ans. Je mène des enquêtes depuis mes 18 ans.  »
Des enquêtes plus ou moins couronnées de succès. «  J’ai perdu tout mon matos, une fois, dans une maison. Plus de 2000 euros partis en fumée à cause d’un esprit pas très content de notre présence.  » Il dit avoir assisté à une dizaine d’apparitions depuis ses débuts d’enquêteur.

« Il faut le voir pour le croire »

Jérôme Durlique poursuit l’installation du matériel. Il prend en main le dictaphone. «  Il ne marche pas, constate-t-il, presque content. Soit c’est à cause du froid, soit ce sont les esprits qui s’amusent.  » Le chasseur frictionne les piles. L’appareil fonctionne.
Le chasseur rappelle les règles de sécurité. La première : ne pas fuir en courant. «  Ça ne se fait pas… et en plus ça ne mène nulle part.  » Entre les ronces, les ruines et les deux ou trois puits qui traînent, mieux vaut rester tranquille dans l’usine désaffectée. Ensuite, Jérôme Durlique conseille de ne pas «  parler méchamment aux esprits  ». «  Il ne faut pas oublier que ce sont d’anciens êtres humains. Il faut les traiter avec respect.  »
Par ces enquêtes, l’équipe GRIAP compte démystifier ces phénomènes. «  Nous sommes là pour prouver aux gens que les esprits sont réels et qu’il ne faut pas en avoir peur. »
Le détecteur de mouvement est installé. Jérôme Durlique demande patiemment s’il y a une présence. «  Si oui, manifestez-vous. » La lumière s’allume dans l’usine en ruine. Le courant d’air, un moustique ou un esprit. Qui sait vraiment. «  Il faut le voir pour le croire  », reprend le chasseur. Lui, en tout cas, fantôme ou pas, il y croit.

http://www.courrier-picard.fr/region/esprit-es-tu-la-video-ia195b0n322205



SOS fantômes à Saint-Quentin par courrier-picard

Paranormal Files Fantomes Quand Les Morts Entrent En Contact reportage

(Traqueur de Fantome) - S06E01 - Alcatraz

dimanche 16 février 2014

jeudi 13 février 2014

dimanche 2 février 2014

jeudi 30 janvier 2014

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jeudi 23 janvier 2014

mercredi 22 janvier 2014

dimanche 19 janvier 2014