mardi 31 janvier 2017

temoignage dovni par la nasa

mardi 24 janvier 2017

samedi 14 janvier 2017

LES RUINES FANTOMES ! Chasseur de fantômes

http://laplusgrandepistedecirquedumonde.blogspot.com/2017/01/cirque-du-soleil-varekai-beginning.html

mercredi 11 janvier 2017

Ovnis, rencontres paranormales... 40 ans de phénomènes inexpliqués en Occitanie

Depuis 1977, le Groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Geipan) du Cnes (Centre national d'études spatiales), basé à Toulouse, enquête sur les témoignages de phénomènes étranges dans le ciel qui lui sont envoyés de toute la France. 
Carte des cas inexpliqués, histoires les plus mystérieuses, témoignages d'enlèvements, hauts-lieux de l'ufologie et canulars... À l'approche des 40 ans du Geipan et à l'occasion de la publication de ses données 2016, La Dépêche du Midi vous propose un tour d'horizon des ovnis en Occitanie.

Geipan : la brigade d'enquêtes de l'univers

Installé dans trois petits bureaux sur l'immense campus toulousain du Centre national d'études spatiales (Cnes), le Geipan enquête sur les phénomènes spatiaux étranges observés dans toute la France. Chaque année, près de 500 témoignages sont envoyés et traités par la petite équipe d'enquêteurs affectée à cette tâche à temps plein. « Notre mission est de répondre aux gens comme vous et moi qui souhaitent avoir une explication après avoir fait une observation visuelle ou sonore insolite dans le ciel », explique Jean-Paul Aguttes, responsable de cette unité du Cnes.
Les témoignages sont directement déposés par les témoins sur le site du Geipan ou transmis par la gendarmerie, vers laquelle se tournent souvent les Français en demande de réponses. Sur les 500 témoignages recueillis chaque année, la moitié est écartée rapidement puisqu'ils ne correspondent pas aux attributions du Geipan (phénomènes paranormaux ou observations sur Terre).

Interrogatoires et reconstitutions

Une fois ce premier écrémage effectué, l'équipe du Geipan mène une enquête approfondie sur chaque cas. Pour écarter les méprises les plus fréquentes, les équipes consultent d'abord les conditions atmosphériques, les relevés radars de l'armée ou encore les lancements d'appareils dans l'espace qui pourraient entraîner des retombées de pièces sur Terre au moment de l'observation. Si ces premières recherches n'ont pas pas permis de trouver une explication, les équipes du Geipan se déplacent sur le terrain.
Les témoins sont alors interrogés par l'un des nombreux enquêteurs bénévoles recrutés dans tous le pays selon un protocole très encadré. Les mêmes questions sont posées plusieurs fois et reformulées par l'enquêteur pour évaluer la fiabilité des témoignages. L'enquête sur le terrain permet aussi de faire des relevés et de prendre des photos. Dans certains cas, comme pour une investigation criminelle, des reconstitutions sont même organisées sur les lieux.
Si le phénomène ne peut toujours pas être expliqué, le Geipan réunit un collège d'experts constitué de spécialistes en sciences humaines, astronomie, météorologie, plasma, rayonnements ou aéronautique pour mobiliser toutes les connaissances actuelles qui pourraient lever une part du mystère.

10 % des cas non élucidés

Globalement, la plupart des cas sont rapidement expliqués, mais 10% d'entre eux ne sont pas élucidés. « Certains cas ne peuvent être éclaircis faute d'indices. D'autres seront peut-être élucidés grâce à de futures recherches scientifiques », espère Jean-Paul Aguttes. « Il nous arrive de temps en temps de rouvrir des cas anciens et de pouvoir les expliquer grâce à de nouvelles découvertes. C'est notamment le cas des avancées sur les éclairs en boule, qui peuvent entrer par les cheminées comme dans Tintin et les 7 boules de cristal, et qui nous ont permis de classer plusieurs dossiers anciens ».
Et l'hypothèse extraterrestre ? Jean-Paul Aguttes reste prudent, sans fermer tout à fait la porte aux petits hommes verts. « Nous devons rester ouverts sur ces sujets. C'est quelque chose qui fait partie des hypothèses, mais parmi beaucoup d'autres et avec une vraisemblance très faible ».
En raison de la prudence du Geipan sur ces questions et de son lien avec le Cnes, organisme public, beaucoup d'ufologues, nom donné aux passionnés d'ovnis, mettent en doute la crédibilité du groupe d'études et dénoncent « un écran de fumée » ou « une coquille vide » qui ne viserait qu'à « cacher la vérité à la population »...
http://www.ladepeche.fr/article/2017/01/10/2493736-ovnis-rencontres-paranormales-40-ans-de-phenomenes-inexpliques-en-occitanie.html
 

mardi 10 janvier 2017