mardi 30 septembre 2014

Les fantômes d'Afghanistan

dimanche 21 septembre 2014

Bollène : un prêtre exorciste combat les infestations du Mal

Les touristes venaient paisiblement visiter la collégiale Saint-Martin dans le cadre des journées du patrimoine, quand ils sont tombés sur une séance d'exorcisme
Les visiteurs pour les Journées du patrimoine qui ont fait le choix de se rendre ce samedi en début d’après-midi à la collégiale Saint-Martin pensaient découvrir une exposition de photos sur « la restauration des intérieurs » de l’édifice. Mais certainement pas voir des gens sur le parvis en train de vomir, en pleurs. Ils se sont ainsi vus rediriger vers d’autres sites. Mais certains s’engagent quand même à l’intérieur. En entrant, c’est la stupéfaction. Sous leurs yeux, des personnes gesticulent les mains levées vers le ciel, d’autres tombent, inanimées, en prière devant le Saint-Sacrement et les visiteurs se demandent alors s’il ne faut pas appeler les pompiers. Ils découvrent des prêtres en confession dans les chapelles latérales, des séances d’exorcisme par un prêtre du diocèse, le père Gabriel Picard d’Estelan et Frédéric Lacroix, « un laïc qui a reçu la mission de Dieu dans l’obéissance à l’Église, de combattre les infestations du Mal au nom de Jésus-Christ », selon les termes du communiqué de la paroisse de Bollène annonçant l’événement.

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2014/09/20/un-pretre-exorciste-combat-les-infestations-du-mal

lundi 8 septembre 2014

vendredi 5 septembre 2014

Des chercheurs affirment avoir réussi à faire de la télépathie

Des chercheurs affirment avoir transmis pour la première fois un message mental simple entre deux personnes séparées par des milliers de kilomètres, selon une recherche récemment publiée dans la revue américaine PLOS one.

L'un en Inde, l'autre en France, capables de communiquer par flashs lumineux. Pour mener leur expérience, des chercheurs ont placé des électrodes sur la tête d'un sujet, transmettant via internet ses activités cérébrales comme un  électroencéphalogramme, alors qu'il pense des messages très simples comme  "bonjour" ou "salut". L'ordinateur convertit ces impulsions électriques en code binaire, le langage machine, avant de les envoyer à un autre ordinateur qui les transmet au cerveau d'une autre personne en France sous forme de flash lumineux, expliquent ces scientifiques. Le sujet ne pouvait ni entendre ni voir les mots eux-mêmes mais a été capable d'interpréter les signaux lumineux pour saisir le message. En fait cela revient à transmettre un message par télépathie.

"Nous voulions voir s'il était possible de communiquer directement entre deux personnes en lisant les activités cérébrales de la première puis en les transmettant à une autre et ce sur de vastes distances via les systèmes de communication existants comme internet", a expliqué Alvaro Pascual-Leone,  professeur de neurologie à la faculté de médecine de Harvard, co-auteur de  cette expérience. Des chercheurs de l'université de Barcelone et de la firme espagnole Starlab ainsi que de la société française Axilum Robotics ont également  participé à cette recherche parue dans PLOS One daté du 19 août. Selon ces scientifiques il s'agit d'un premier pas dans l'exploration d'autres moyens de communication.

"Nous pensons que des interfaces directes courantes entre les ordinateurs et le cerveau humain seront possibles dans un avenir pas si éloigné, permettant une communication directe de cerveau à cerveau de façon routinière (...) et créant de nouvelles possibilités dans les relations sociales", concluent ces chercheurs. Parmi les applications potentielles, ils citent la possibilité de communiquer avec des personnes paralysées et incapables de parler après un accident vasculaire cérébral. Les scientifiques travaillent depuis une dizaine d'années sur les  communications télépathiques.

En 2013, des neurobiologistes de l'Université Duke en Caroline du nord (est des Etats-Unis) étaient parvenus à faire transmettre par une forme de  télépathie des informations entre deux rats. Comme ils sont tenus de le faire dans les grandes publications scientifiques, plusieurs auteurs signalent des conflits d'intérêt. Ainsi trois des chercheurs sont salariés de la firme de robotique et de neurosciences Starlab à Barcelone, qui a financé une partie de la recherche.
 

mercredi 3 septembre 2014

mardi 2 septembre 2014

Une famille de Villers-Outréaux s’enfuit de sa maison car elle la pense hantée

Ce samedi il est 9 h 30 lorsque nous arrivons devant la maison des Larmigny, située au cœur du village. Le couple nous attend de l’autre côté de la chaussée, accompagné d’une amie et de la voisine de la maison mitoyenne. À peine proposons-nous d’effectuer l’entretien à l’intérieur pour plus de confort, que l’angoisse gagne nos interlocuteurs : « Je veux bien rentrer pour vous montrer où ça s’est passé mais je ne m’attarde pas ! », s’inquiète Stéphane Larmigny.
Le seuil de la maison franchi, nous constatons que toute la maison a été laissée telle quelle, laissant présager un départ précipité : « Nous avons tout laissé derrière nous vendredi dernier. J’ai envoyé les enfants chez leur père à Lille et nous sommes partis à l’hôtel avec mon mari. Nous ne pouvions pas rester une nuit de plus ici. », indique Mme Larmigny.

« Mes enfants poussaient des cris de terreur »

Depuis deux ans, la famille Larmigny coule pourtant des jours heureux dans cette petite maison. Mais concède, s’être toujours sentie observée depuis leur emménagement, sans jamais vraiment savoir l’expliquer : « Il y avait des choses qui se passaient ici. Un jour je me suis levé : j’avais des traces de doigts sur la poitrine. Un autre jour c’était la marque d’un chiffre sur mon poignet », rapporte le locataire.
Ces « choses », le couple n’y avait jamais trop prêté attention jusqu’à ce jour du 26 août, où Stéphane décide d’abattre l’arbre devant la maison : « C’est à ce moment-là qu’on a senti qu’il y avait une présence à l’intérieur. Ça a commencé par des bruits dans la cage d’escalier. Mes enfants poussaient des cris de terreur la nuit car ils voyaient des visages. Les portes claquaient derrière nous sans qu’il y ait le moindre courant d’air. On entendait des bruits de pas en haut alors que personne n’y était et des chuchotements le soir, se rappelle Marie, terrorisée. Il y a forcément un lien avec cet arbre. Il doit y avoir quelque chose dessous. »
Pour se convaincre qu’il n’a pas cédé à des divagations, le couple réalise une série de photos prises à différents endroits de la maison. Sur celles-ci on aperçoit des « masses » dans lesquelles on distinguerait des visages en train d’observer les occupants (voir ci-dessus).
Alors fruit de leur imagination ou réel phénomène de Poltergeist ?
Une chose est sûre, les Larmigny ont fui leur maison, quitte à ne plus jamais y mettre les pieds, et invitent quiconque penserait que leur histoire est du bluff à y passer la nuit. À bon entendeur…

http://www.lavoixdunord.fr/region/une-famille-de-villers-outreaux-s-enfuit-de-sa-maison-ia13b45101n2354085